BONJOUR, QUI suis- je ?
VIRGINIE MASDOUA
Diététicienne nutritionniste depuis plus de 30 ans, Docteure en anthropologie de l’alimentation depuis 14 ans, après un master en sociologie sur les représentations alimentaires de jeunes atteints de la maladie de Crohn. J’accompagne les personnes : enfants, adultes, famille qui m’exposent leurs troubles alimentaires dans un espace où ils sont accueillis sans jugements.
Diététicienne clinicienne à l’hôpital puis cadre supérieur de diététique à l’Assistance Publique des Hôpitaux de Paris et responsable de services diététiques, je reprends une activité thérapeutique, clinique quotidienne en diététique. J’écouterai avec bienveillance vos histoires alimentaires, vos ressentis face à l’alimentation.
Je vous reçois sur rendez vous : https://www.doctolib.fr/dieteticien/saint-paul/virginie-masdoua
MA PASSION L’alimentation et la nutrition HUMAINE
Chercheure en anthropologie de l’alimentation, je suis également enseignante à l’Université en licence et en master de Nutrition et Alimentation Humaine à l’Université de Montpellier depuis plus de 10 ans et également sur Amiens depuis 2023 à l’Université de Picardie Jules Verne pour la licence diététique et le DU de maintien à domicile ainsi qu’à l’Université Paris Cité.
Vous pouvez retrouver mes publications en tant que chercheure sur le portail de RESEARCH GATE : https://www.researchgate.net/profile/Virginie-Masdoua
Pourquoi parler de l’éducation alimentaire ?
Je suis fille d’institutrice et parce que Mandela l’a écrit : » L’éducation est l’arme la plus puissante pour changer le monde ». C’est pour moi une évidence et je veux mettre cette idée en pratique tous les jours. Je me suis occupée de créer des programmes pédagogiques pour développer la prise en charge de la dénutrition dans les hôpitaux en Afrique et en Asie, dans les pays émergents ou en voie de développement.
CONSTRUIRE LA RELATION ALIMENTAIRE
Pourquoi vous intéressez vous à l’éthique de la relation alimentaire ?
Parce qu’elle est une clef de la relation sociale : manger ensemble c’est prendre le risque de devenir comme l’autre…D’où l’importance de l’éthique de la relation humaine qui est sociale et émotionnelle. « J’ai faim » ne se résume pas seulement à assouvir son besoin biologique. Cela répond aussi à une demande sociale et hédonique. Pour penser cette relation humaine, il est indispensable de maintenir le désir source de vie, le respect et la responsabilité à l’égard de l’autre que je nourris…Il est indispensable de lui laisser la liberté de manger ou pas et de garder à l’esprit, l’égalité alimentaire pour tous.